ft. ... de ... Âge : 23 Situation conjugale : Célibataire Situation familiale : Enfant unique Citation : "If I die in battle.. tell them I stood and never kneeled." | Caractère Fugaku est un homme très souriant, il aime rire et blaguer. Bienveillant, il cherchera toujours à aider les autres quand c'est possible. Il est très attentif au comportement et à la santé de ses proches. Il aime les personnes qui tiennent leurs paroles. Il n'hésite pas à se mettre en danger pour défendre ses idéaux et ses camarades en cas de combat. Il est aussi très sérieux et appliqué dans son travail. Il ne supporte pas le manque de respect, surtout envers les femmes et les personnes ne pouvant se défendre seules. Il s'énerve rapidement, ce qui contraste avec sa douceur et sa gentillesse habituelle. Très sage, il sait prendre des décisions sur le vif et gérer une situation d'urgence. Il ne supporte pas qu'on remette en question son titre de samouraï et le mérite du Shinsengumi. Il est compréhensif, accueillant, généreux, le genre de personne qu'on aime dès la première rencontre. Fugaku est très extraverti, il aime se faire remarquer, faire rire et exhiber sa cicatrice. Grand amateur d'alcool, il passe le plus clair de son temps dans les maison de thé où il apprécie de faire de nombreuses rencontres. Fugaku est cependant très têtu et tient parfois tête à ses supérieurs. |
Physique et style vestimentaire Fugaku est un jeune homme de 23 ans. Il est de très grande taille, environ 1m90, a les épaules larges et la taille mince. Il est musclé, mais pas trop. Ses yeux sont vifs et dorés. Ses cheveux sont rouges et longs, il les attache parfois. Il a une cicatrice horizontale sur le bas du ventre. La plupart de ses tenues sont de couleur noire, blanche ou rouge. En patrouille, il porte le haori bleu ciel du Shinsengumi. Il a toujours un katana attaché à la ceinture et une lance accrochée dans le dos. |
Histoire
Né dans une famille de samouraïs, Fugaku fut éduqué dès son plus jeune âge selon le code d'honneur du guerrier. Il était enfant unique, seul héritier de son vieux père. Miharu Usui, son père, était autrefois un service d'un grand daimyo. Il était à présent à la retraite. Il inculqua à son jeune fils tout ce qu'il savait à propos de l'art de manier l'épée. Fugaku était un élève attentif et doué, il aimait sincèrement le kenjutsu. C'est un conflit d'idéaux qui déchira la famille. En effet, Fugaku était devenu assez grand et mature pour avoir ses propres opinions sur le monde, et elles n'étaient pas les mêmes que celles de son géniteur. Fugaku décida donc de quitter la maison et de se débrouiller seul. Il travailla quelques temps pour un seigneur chez qui il aidait pour les travaux à l'extérieur. N'étant que très peu rémunéré, il fut contraint de voler pour se nourrir. Suite à ces infractions, il fut arrêté par la police de la ville et condamné au seppuku, un suicide traditionnel de samouraï. Il s’exécuta, fidèle à ce qu'on lui avait appris.
Il se réveilla des jours plus tard, allongé dans un lit. Une famille l'avait trouvé, respirant à peine, et l'avait sauvé. Tant de bonté venant de la part d'inconnus était surprenant. La remise en forme fut longue et dure, mais Fugaku n'avait jamais abandonné. Quelques mois plus tard, il était prêt à repartir, remerciant infiniment ses bienfaiteurs.
Durant 2 ans, il erra de ville en ville, à la recherche de sa place. Il aimait voyager, mais la solitude le dérangeait : il ne pouvait se faire d'amis s'il passait son temps sur les routes. C'est ainsi qu'il commença à fréquenter des courtisanes. Il trouvait ça distrayant, au début, mais il se désintéressa rapidement des femmes, même si jouer de ses atouts lui plaisait énormément. Restait l'alcool, qui lui faisait oublier son exil l'espace de quelques heures.
C'est un matin d'hiver 1863 à Edo qu'il croisa un groupe d'hommes qui patrouillaient en ville ; le Shinsengumi. Il ne s'était jamais douté qu'une rencontre comme celle ci allait changer sa vie. Le groupe fut d'abord méfiant, mais accepta tout de même de le mener à leur quartier général. Le soir même, Fugaku était déjà intégré, sa bonne humeur et son talent à l'épée avaient séduit le petit groupe fraîchement formé.
Des années plus tard, il n'avait pas quitté la milice. Etant l'un des premiers membres, il avait été nommé caporal de l'une des escouades qu'il devait mener lors des patrouilles et des affrontements. Son arme de prédilection n'était plus le kanata mais la lance. Sa grande taille et sa force lui permettaient de manier cette arme de la meilleure manière qui soit. Il se battrait jusqu'au bout pour ceux qui lui avaient donné une place dans ce monde.